Il n’existe pas de liste exhaustive des sports de nature. Leur pratique et leur encadrement font l’objet d’une réglementation complexe, qui va piocher tant dans le code du sport, que dans celui de l’environnement, en passant par celui de l’urbanisme et du travail.

Juridiquement, les sports de nature « s’exercent dans les espaces ou sur des sites et itinéraires qui peuvent comprendre des voies, des terrains et des souterrains du domaine public ou privé des collectivités publiques ou appartenant à des propriétaires privés, ainsi que des cours d’eau  domaniaux ou non domaniaux ».

Cette définition partielle et très large permet de placer sous le régime des sports de nature, énormément d’activités physiques, notamment dès lors qu’elles se pratiquent pour des raisons techniques, en relation avec la nature, dans des espaces répondant à un « environnement spécifique ».

Une trentaine de sports peuvent toutefois être définis comme des sports de nature.

Ce sont : l’alpinisme, l’aviron, le canoë kayak, le canyonisme, le char à voile, la course d’orientation, le cyclisme et cyclotourisme, l’équitation, l’escalade, la glisse aérotractée, le motonautisme, la parachutisme, le parachutisme ascensionnel nautique, le parcours acrobatique en hauteur, la pêche sportive, la plongée sub-aquatique, les raides multisports de nature, la randonnée pédestre, la raquette à neige, le ski alpin, le ski nautique, le ski nordique, la spéléologie, les sports aériens, les sports mécaniques, le surf de mer, le tir à l’arc, la voile, le vol libre.

Pour plus d’informations : http://www.sportsdenature.gouv.fr/