FORUM - Immobilier
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Bonjour,
Nous avons achetés une maison individuelle de 594m². 4 ans après le cadastre fait un remaniement et il nous reste plus que 408m². Cela fait un choc. Sur le terrain, il y avait une route communale et dans l'acte de vente était spécifié: assiette de route communale appartenant à Mr et Mme D... l'acquéreur en fait son affaire Nous avions compris que nous étions proprio mais en fait cela veut dire que nous étions proprio du terrain (inutilisable !) puisque nous l'achetions à des gens qui en était proprio. (Et cela nous a été "vendu", comme une particularité, par le notaire)
Je contacte les impôts ils me disent qu'une route communale ne peut pas être vendue ! (logique, mais on comprends plus tard que l’on nous a vendu le terrain). Et nous entendons deux versions: on n'aurait dû contester de suite (ça c'est quand on sait, naïf nous faisions confiance) et d'un autre côte on nous dit que le fait d'en faire notre affaire veut dire qu'ils savaient que les problèmes pouvaient arriver. Et qu'en fait ils auraient dû indiquer qu'une route communale traversait le terrain et que l’on nous vendait, en fait, un terrain perdu pas justifié pour la vente en tout cas... Avis?
Soit. Nous constatons que la ville ou nous sommes n'a pas fait les choses comme il l'aurait fallu et l'ancien propriétaire aurait dû demander un terrain en division pour actualiser la réalité de ce fameux terrain et lui, donc devait accepter de perdre ce fameux terrain sans nous le revendre. Il s'en est bien gardé car le terrain est vendu plus cher... of course (puisque plus de m² à vendre), n'a pas régularisé et nous a vendu un terrain qui n’avait pas lieux d’être cité.
A votre avis... peut-on l'accusé de malhonnêteté et revenir sur cette clause (abusive?) ? Egalement, vu de l'extérieur, cette maison, pour l'urbanisme, est en règle. Sauf qu'en fait, il a creusé à l'intérieur pour avoir des hauteurs sous plafonds plus haut... mais aussi : nous a vendu une maison qui n'est donc pas tel que les plans l'indiquent. Tout était aménagé: habitable et habité. Nous sur plan c'est vendu comme vide sanitaire (nous essayons de légaliser... à ce jour impossible). Même avec la nouvelle annonce de Sarko.
Mais aussi: en creusant... a t'il bien préparé le terrain ? doit-il le justifier ?Qu’elles sont les compétences qui lui permettent de nous préserver de toutes les malfaçons ?, car 4 ans après l’achat : Insalubrité dans un coin de l'aile du rez-de-jardin. 50 000€ se sont envolés en travaux, calendaires refaites, tuyauterie refaites, trottoir de capillarité thermique, avocat, experts (!!!) et nous ne sommes pas certains du résultat. Bien sûr il n'a pas pris d'architecte alors que de l'intérieur elle fait 178m² de Shon et n'a pas pris bien sûr d'assurance !!!
Il était maçon. Est-ce que cela veut dire que l'on n'a les compétences? Doit-il justifier de ce qu'il a investi ? Nous avons pleins de malfaçons (fuites d'eau, odeurs pestilentielles au rez-de-jardin aux évacuations et n'a mis qu'une couche extérieur pour isoler la maison). Je m'attends un jour à ce qu'on déterre un cadavre...Voilà j'espère avoir été un peu claire...
Merci aux courageux pour les avis
Bonjour,
Pour la route communale, il n'y a pas grand-chose à faire à mon avis. Tu es propriétaire d'un terrain traversé par une route communale qui constitue une sorte de servitude que tu doit supporter. Tu as sans doute mal compris la situation, le notaire l'a sans doute mal expliqué, mais il me semble que tu n'as pas suffisamment d'éléments de preuve pour mettre en cause le vendeur et le notaire.
Quant aux autres défauts de la maison, tout dépend s'ils ont été signalés ou non dans l'acte d'acquisition notarié.
Par ailleurs, il y a quelque chose qui m'intrigue : pourquoi tu as attendu tant d'années avant de manifester ton étonnement et ton mécontentement ?
Au plaisir de te lire.
Cordialement.
pardon, pour les fautes ... un peu stressee je suis.